Charles-Ange de La Monneraye, né à Rennes en 1812, président du conseil Général, député puis sénateur du Morbihan. François de Hillerin, lieutenant des vaisseaux du roi en 1777 (, Mathurin Hingant, seigneur de Saint-Maur, en Caulne, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 16 novembre 1668 (, Jean-Joseph-Thomas Houitte de La Chesnais, avocat au Parlement de Bretagne en 1777, juge au tribunal de district en 1790, président du tribunal civil de Saint-Malo, député d'Ille-et-Vilaine, de 1811 à 1815, anobli le 9 décembre 1814 (. A short summary of this paper. François-Charles-Luce, baron Didelot, ministre plénipotentiaire, chambellan de l'Empereur, commandeur de la Légion d'Honneur, baron de l'Empire Français, le 30 août 1811 (, François-Marie de Dieuleveult, docteur en médecine, anobli le 23 mai 1816 (et non 1817 comme mentionné par La Messelière) pour services rendus pendant une épidémie. Conseiller secrétaire du roi audiencier auprès du Parlement de Flandre. Pierre-René-Auguste de B. d'Ars, député de la noblesse de Saintonge aux États Généraux de 1789 (, François-Marie Briant de Laubrière, maire de Quimperlé, anobli le 28 décembre 1815 (, Jean Guillaume Briot, anobli le 24 mai 1823 (, Victor de Broc, seigneur de La Ville -au-Fourier, maintenu noble en Anjou le 28 septembre 1668 (, Charles Brochard, seigneur de la Roche-Brochard, en Béceleuf (Deux-Sèvres), maintenu noble en Poitou le 10 septembre 1667. Gaëtan d' Aviau de Ternay "Les pages des écuries du roi, des reines et des dauphines", 2006, page 154. Une première définition de ces privilèges a été donné sous le règne de Louis XI en 1440 et il a inclus le droit de chasse, d'apporter l'épée, puis d'avoir un seigneurie (Land auxquels ils étaient liés certains droits et devoirs de dérivation féodale). Joseph-Alexis R., baron de Lézardière, émigré à l'armée des prince en 1792 (, Sébastien de Robien, baron de Lanvaux, en grandchamp, (Morbihan), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 26 octobre 1668. Louis-Olivier de Kermabon, tué à La Ville-ès-Mariniaux, en Lancieux, en 1792. - 1917, Autorisée à reprendre le nom et les armes de la. Noblesse francaise. Gabriel Artur, seigneur du Ronceray, procureur du roi, maintenu noble en Normandie en 1671 (, Charles d'Aubert, seigneur de Launay-Beaulieu, maintenu noble à l'intendance de Bretagne en 1698, puis au Conseil d'État en 1706 (, Guy Aubert, marchand de draps de soie à Rennes, acquéreur le 27 novembre 1690 de la charge anoblissante de conseiller-secrétaire du roi près la chancellerie du Parlement de Bretagne (, Pierre Aubert, sieur de Vincelles en Auxerrois, anobli en 1669 par la charge de conseiller du roi, admis dans l'orde de la noblesse aux États de Bourgogne en 1682 (, Josué-Alexis Augé, maire de Passy, anobli le 30 juin 1830 (, Louis d'Augustin, seigneur de Bouguisson en Epeigné (Indre-et-Loire), Gouverneur de Furnes (Flandre), maintenu noble en Touraine le 25 février 1661 (, Jacques d'Aviau, seigneur de Relay et du Bois-de-Sanzay, en Saint-Martin-de-Sanzay (Deux-Sèvres), page de la reine, capitaine au régiment de Persan, Chevalier de Saint-Michel, maintenu noble au Conseil d'État en 1668 (, Jacques-René Barbier du Doré, chef de division des armées catholiques et royales de l'ouest, colonel, chevalier de Saint-Louis, anobli le 28 mars 1818 (, Pierre-François de Beaudrap, député de la noblesse du Cotentin aux États généraux de 1789 (, Joseph de Bentzmann, maintenu noble à l'Intendance de Guyenne, à Bordeaux, le 12 décembre 1757 (, Jean-Claude Blanchet, seigneur de Pravieux, anobli en 1731 par l'échevinage de Lyon. Vol. Adrien-Antoine Blocquel de Croix, admis au collège Mazarin sur preuves de noblesse de 1710, créé baron de Wismes en 1759 (, Louis de Blois, seigneur de la Calande, maintenu noble en Champagne, dans l'Élection de Troyes, le 6 juin 1668 (, Louis, seigneur du Boberil, maintenu noble en Bretagne le 22 octobre 1668, (, Didacus ou Diégo-Antoine-Jérome-Marius de Bodard, seigneur de La Jacopière, en Craon, capitaine dans la garde royale, chevalier de la Légion d'Honneur, anobli le 28 juin 1821 (, Famille que la tradition dit originaire de Normandie, établie dès 1150 au royaume normand de Calabre, et en Corse en 1564. Titres de courtoisie : (branche aînée) comte de Rochefort 1556, marquis de Curton 1563 (dans l'usage : « marquis de Chabannes La Palice » 1782) : Chaix d'Est-Ange, 5, 151. Pierre-Roland O., colon à Saint-Domingue. Louis Pierre et Antoine Marie d'Hozier de Serigny, Louis-Étienne Charpillon et l'abbé Caresme, in. Jérome Adrien de Joybert, député de la noblesse en 1789 (M. de Caumartin, Après alliance avec une Battant de Pommerol en 1849, ajout légal de "Pommerol" par décret du 3 février 1914, Acte récognitif : Lettres patentes d'anoblissement du roi d'Espagne, Philippe II, du, Famille subsistante et incorporée dans la noblesse néerlandaise en 1900 et 1910 ; voir, Acte récognitif : Protestation de la Noblesse du. Jean-Baptiste Magon, fermier général, puis banquier de la cour, guillotiné à Paris le 19 juillet 1794 (, Philippe Mahé, seigneur de Berdouaré, en Plounévez-Loc'hrist, (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction, le 20 mai 1669. Marie-Gustave de W., marquis de Thézy, auteur de tous les descendants actuels (, Antoine de Wolbock, vicomte de Limé, (Aisne), exempt des gardes corps du roi Louis XIII, gentilhomme de la reine en 1617. René de S., capitaine d'une compagnie de la noblesse du comtais nantais, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, en 1669. Armorial Général ou registre de la noblesse de France –. Bernécourt, seigneurie en Lorraine, érigée en baronnie par Lettres du 19 avril 1719, en faveur de Didier-Charles Parisot, colonel de cavalerie, au service du duc Léopold, Acte récognitif : Lettres patentes du Duc de Lorraine Léopold, Armorial de l'ANF, p.497, AR 2408, éditions du Gui, Acte récognitif : maintenue de noblesse le, Actes récognitif : L.P. données à Turin, le, AN 149 Mi 3 et État des Donataires en Westphalie du. Capitoulat de Toulouse, quartier Saint-Pierre en 1746. Dépouillement en cours de Nicolas Guerre, Noblesse 2001. La noblesse française, ce sont 3.000 familles dont 300 remontent au Moyen Âge. Trois branches légitimes issues de René Couppé de Keroual dont les titres ont été enregistrés au Conseil Souverain de la Guadeloupe le 7 avril 1693 (Borel d'Hauterive, À cette famille appartient aussi le compositeur, Acte récognitif : Maintenue de noblesse délivrée le, Armorial de l'ANF, Editions du Gui, 2004, notice. Jean-Baptiste-Louis, commandant de bataillon au régiment Royal-Vaisseaux en 1743. Admission aux Pages de la Petite Ecurie, le 21 mars 1776. Armorial de la chambre des comptes de Dijon). Pour les branches de Bandeville et de Quincy: Archives Départementales des Bouches du Rhône C2212 f° 1050r. François-Yves, marquis de La Roche-Kérandraön, né à, Nicolas de La Ruée, seigneur de La Ruée, en Tréal, (Morbihan), maintenu noble en Bretagne, en 1669 (, Même origine et mêmes armoiries que La Celle de Chateaubourg. (Authier et Galbrun, Acte récognitif : lettres patentes de trésorier royal du. Familles absentes du Catalogue de la Noblesse Française de Régis Valette (édition 2007). Alexandre de P. de C., commandant de la frégate Améthiste, aux Antilles, en 1759, vice-gouverneur de l'île de la Martinique en 1774, créé baron par lettres patentes du 27 mai 1774. Maintenue de noblesse par M. de Bezons, intendant du Languedoc le 31 janvier 1669. Jean Étienne Piochard de La Bruslerie, né le 31 mai 1696, chevalier de Saint-Louis en juillet 1736, sous-brigadier de la. 10.3917/adh.131.0013. Acte récognitif : Enregistrement, en date du, Jean Le Bouteiller, seigneur du Chastenay, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 9 avril 1669 (. Jean Claude Verchère, né le 19 novembre 1700, conseiller et médecin ordinaire du Roi, surintendant des eaux de Bourbon-Lancy (, Gilles du Vergier, seigneur de Kerholay, en Guidel, (Morbihan), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 15 avril 1669 (, Jean de Villèle, seigneur de Campoliac, en Mourvilles-basses, (Haute-Garonne), secrétaire du roi en la chancellerie de Toulouse, le 30 avril 1633. Preuves pour les Écoles Royales Militaires en 1769. La terre et la seigneurie d'Asnières-les-Bois érigée en comté sous le nom de Loriol par Lettres Patentes de janvier 1743, enregistrées au Parlement de Dijon le 7 mai 1743 en faveur de Louis Alexandre Catherine Duport, sgr de Mont-Plaisant, Fromenten, La Gravillère, président à Mortier au Parlement de Bourgogne. François-Marie-Auguste de Kerpoisson, lieutenant de Cadoudal pendant la chouannerie en Bretagne (, René de Kerret, seigneur de Quillien, en Pleyben (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 18 juillet 1669 (, Hamon-Pierre de Kersaint, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 23 août 1669 (. Xavier D., créé baron de Pontalba, le 8 mai 1810, avec majorat, titre confirmé le 30 mai 1865. André-Aurélien E. de T., cadet gentilhomme au régiment d'Anjou-infanterie, émigré en 1792 à l'Armée des Princes, lieutenant à la Compagnie d'Anjou, puis aux hussards de Damas (, Jean Eudes, seigneur d'Eudeville, maintenu noble en Normandie, le 16 février 1669 (, Pierre-Marc-Antoine, baron de Fabry le 2 mai 1811, confirmé baron héréditaire le 30 mars 1816, juge, puis premier président à la cour d'Appel d'Aix, député du Var en 1815, Eustache Ferron, seigneur du Chesne, en Saint-Carné (Côtes d'Armor), maintenu noble en Bretagne, le 30 octobre 1668 (, Sébastien Fleuriot, seigneur de Langle en Carnoët, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 5 août 1669. Philippe du Puy, Cette famille est enregistrée à l'ANF sous le nom du colonel Jean Marin-Dubuard, colonel major de l'artillerie à cheval de la Garde Impériale. Annales Annales de démographie historique, Belin, 2016, 131 (1), pp.13-36. (B.N. Jean-François Didelot, fermier général, guillotiné à Paris, le 8 mai 1794. Des familles qui sont mentionnés comme nobles par différents auteurs comme Régis Valette, le baron de Woelmont, André Borel d'Hauterive, Ambroise Louis d'Hozier, mais considérées de noblesse inachevée par d'autres sources, sont reportées dans cette liste. Maurice-Briac de Kernavanois, né en 1668, sgr du Bois-David en Bothoa, près Saint-Nicolas du Pélem, (Côtes d'Armor) (, Joseph-Hyacinthe de Kerouartz, enseigne aux Mousquetaires à cheval, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 11 mai 1669. Mais l'édit de 1778 déclare nulles et non avenues ces lettres d'honneur et il reprend sa place le 29 juillet 1778 et exerce jusqu'en 1790. Acte récognitif : Copie par Merigot, Directeur de la recherche des usurpateurs du titre de noblesse de la Généralité de. Sévère-Marie de La Monneraye-de La Bourdonnaye-Montluc, né en 1830, adopté par son oncle maternel, Henri-Charles-Marie-Sévère, comte de La Bourdonnaye-Montluc, par acte du 15 juillet 1882, homologué le 9 août suivant par la cour d'appel de Rennes (Les deux branches de La Monneraye sont agréées par l'ANF le 30 novembre 1978) (, Antoine de La Motte, chevalier, seigneur de La Motte-Rouge, maintenu noble en Bretagne le 18 janvier 1668 (, Mathurin Lamour, seigneur de Lanjegu, en Médréac, (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 10 mai 1669 (, Charles de La Moussaye, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 23 janvier 1669 (, René de Lancesseur, seigneur de La Polinière, maintenu noble en Normandie le 9 septembre 1666. René de Chappedelaine (1743-1782, chevalier, officier à l'Isle de Cayenne (, Athanase-Charles-Marin, baron de Charette de La Contrie, pair de France le 23 décembre 1823, colonel des cuirassiers de Berry en 1829, chevalier de Saint-Louis. Loup de Tarragon, seigneur du Rozay, en Beauce, confirmé dans sa noblesse dans l'élection de Châteaudun, les 15 février 1618 et 17 mai 1634. Vincent de Kerimel de Kerveno, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 29 novembre 1670. Autre Jacques, maintenu noble par arrêt du Parlement de Bretagne, le 19 août 1782 (, Mathurin Le Noir, seigneur de Tournemine, en Pordic, (Côtes d'Armor), maintenu noble en Bretagne en 1669. Maurice-Simon, capitaine de Dragons, chevalier de Saint-Louis, maire de Saint-Malo, en 1772 (, Raoul de Gaudemont, seigneur de La Monforière, en Plénée-Jugon, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 26 octobre 1668 (, Léon de Gazeau, calviniste, maintenu noble en Poitou, le 14 septembre 1624. Louis-Marie-Joseph, capitaine au régiment de Picardie, en 1766. ↑Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante au XXI e siècle, 2002, page 390. Pas toujours surtout s'il s'agit de la petite noblesse. En 2007, Régis Valette recensait 182 titres subsistants d'Ancien Régime et 486 du XIXe siècle, soit au total 668 titres réguliers pour 3 092 familles nobles[b 1]. Jean François de C. de P., Baron de l'Empire sur institution de majorat le 8 juin 1813, marquis de Pissy le 11 septembre 1820. ↑ Alain Texier, Qu'est-ce que la noblesse ?, éditions Tallandier, 1995, pages 134 à 137.Estimations faites à partir d'une moyenne de 11 Download PDF. Louis-François F. de C., général de Division, baron d'Empire en 1808, comte héréditaire en 1820 (, René de France, seigneur du Chauchix (côtes d'Armor), maintenu noble d'extraction en Bretagne le 9 avril 1669 (, Claude de Francheville, seigneur de Truscat en Sarzeau (Morbihan), sénéchal au Présidial de Vannes, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 20 août 1669. Maintenue en 1634 et en 1667. Pierre de B. de Bélinay, maintenu noble en Auvergne dans l'Élection de Saint-Flour, le 29 mars 1666 et confirmé dans sa noblesse en mars 1669 (, Louis-Gabriel-Auguste de Bonchamps, membre des assemblées de la noblesse du bailliage de Falaise en 1789 ((, Anne Bonnin de La Bonninière, maintenu noble en Touraine le 3 mars 1669. Marie-Louis-François T. de V., autorisé par ordonnance du 31 mars 1843 à prendre le titre de Marquis de Vaujuas-Langan, député, le 23 mai 1849 (, Les branches de cette famille ont eu pour auteur commun, Jean de Trogoff, seigneur du Pellinec, archer en Brigandine de la paroisse de Pommerit-Jaudy (Côtes d'Armor). Gaspard de Bonardi, écuyer en 1624. confirmé en 1733, Pages de la Grande Ecurie du roi en 1721. registrées au Parlement de Dijon le 5 août 1659, et à la chambre de comptes le 14 août suivant, Famille de Thomas de Labarthe anoblie par LP de Louis XIII le 27 décembre 1627 pour la branche aînée éteinte en 1685. Certificat de noblesse délivré le 19 mars 1784 par Chérin (BN Chérin 214). Ces nobles, dans l’Ancien Régime, descendaient de grandes familles de guerriers venus du Moyen Âge. (Comte de Waroquier. Créé vicomte le 29 mai 1716., conseiller général de la loire Inférieure sous la Restauration (, François de Gérard, seigneur du Barry, en la paroisse de Saint-Quentin (Marcillac-en-Saint-Quentin, Dordogne), lieutenant général au présidial de Sarlat en la sénéchaussée de la dite cité, commissaire du Roi pour l'exécution de l'Edit de Nantes dans le Sarladais en 1598. Jacques-Charles de G., cornette au régiment de Penthièvre, puis chef d'escadrons, chevalier de Saint-Louis, le 24 mars 1762, convoqué aux États préparatoires pour les élections des États Généraux de la Noblesse, le 27 janvier 1789. Louis-Marie-Ambroise, marquis du Dresnay, admis aux honneurs de la cour en 1783, mestre de camp de cavalerie, émigré en 1791, colonel d'un régiment à son nom en 1795, maréchal de camp, chevalier de Saint-Louis (, André Drouet de Montgermont, maintenu noble en Bretagne le 14 novembre 1670 (, Jean-Baptiste-François Dubois de La Cotardière, en Parthenay (Ille-et-Vilaine), conseiller-secrétaire du roi, anobli le 4 janvier 1817 (, Félix Dubois, procureur au Conseil souverain de La Martinique en 1768. Si elle nous fascine autant, c’est à cause de la longévité et de l’histoire dont elle témoigne. Sauvé par le général Bucquet, il est relégué en Bretagne (, Philippe de Kernavanois, sgr de Kerneur, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 31 août 1669. Marie-Edme-Patrice, duc de Magenta, maréchal de France, président de la République Française de 1873 à 1879 (, Nicolas Magon, connétable de Saint-Malo de 1674 à 1695. Jean de La Tribouille, seigneur du Clouzi, de Beczons, La Braudière et La Rousselière, paroissien de Moutiers-Les-Maufaits (Vendée), commandant d'une compagnie de gens de pied du marquis de Bressé, maintenu noble en Poitou le 9 août 1667. Bonabes-Louis-Victurnien de R., maréchal de camp, pair de France en 1815 (, Famille de Picardie. Download. Noms de famille et noms de terre dans la noblesse française à l’époque moderne. Jérome-Bonnaventure du F. de K., gouverneur de Pontivy, émigré à l'Armée des Princes, colonel honoraire en 1816, chevalier de Saint-Louis (, Thomas Foucher, seigneur de La Fellière et du Perray, maintenu noble dans la généralité de Tours, ressort d'Angers, en 1668. Dommaigné par décret de 1930 pour une branche. Jean-Guy G., seigneur du Boisdulier, en Chelun (Ille-et-Vilaine), contrôleur général des Domaines et Bois en Bretagne, après 1735 (, Noël-Alain Garnier, seigneur de la Ville-és-Bret, en Caulne (Côtes d'Armor), membre de l'ordre de la noblesse aux États de Bretagne de 1748 et 1754. (Comte de Waroquier, Inventaire des titres, actes et documents produits par François de Jouffroy-Gonsans, prouvant sa noblesse pour être reçu au. Terres érigées en marquisat d'Ivry par Lettres de novembre 1776, enregistrées au Parlement de Dijon le 4 août 1777, en faveur de Jean-Baptiste Richard de Curtil. Jean-Roland Desclos de La Fonchais, épouse le 30 octobre 1787, Angélique Desilles de Cambernon, guillotinée à Paris le 18 juin 1793 comme complice de la, (Jean Desplaces de Charmasse (1656-1731), titulaire de la charge, mort en fonction)/Son fils, Hugues Charles Desplaces de Charmasse, (1695-1787), lieutenant au régiment d'Aquitaine, a obtenu le 3 avril 1786, un certificat de noblesse pour les sous-lieutenances, délivré par Chérin. La liste des familles classées de L à Z figure dans la seconde partie de cet article. Jacques de Lespinay, maréchal de camp, le, Claude de Lesquen, seigneur du Casso en Pluduno, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 4 septembre 1669 (, Louis de L'Estoile, seigneur d'Hardencourt, en Saint-Pierre de Butray (Maine-et-Loire), maintenu noble en Conseil d'État le 25 avril 1669 (, Pierre de L'Estourbeillon, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 21 novembre 1668 (, François Libault, seigneur de Beaulieu, secrétaire du roi en 1753, maire de Nantes le 14 mai 1766. Autre Jacques T., lieutenant des maréchaux de France, maintenu noble à l'Intendance, le 30 octobre 1715. Filiation rigoureusement prouvée depuis Henry de Bryas, dit de Bristel, l'un des 121 gentilshommes présent en 1414 aux États d'Artois. Jean Doublet (édition de Charles Bréard), Branche. La famille de Meaux est une très ancienne famille noble d'extraction chevalresque (1360), le premier aïeul est Denis de Meaux. Famille de, Alexandre de Cahouët, inspecteur général des Ponts et Chaussées, est anobli le 26 avril 1817 (, Louis-Jean de Cargouët, maintenu noble en Bretagne le 15 avril 1669 (, François de Carheil, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le, Philibert de Carné, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, dans le ressort de Lesneven, le, Jacques-Marie Carron, avocat, anobli le 17 février 1815 (, Guillaume de Castel, chevalier, maintenu noble en Bretagne le 8 avril 1669 (, Jean de Castellan, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 7 décembre 1668 (, Jacques de Cavelier, seigneur de Mocomble en Normandie, conseiller du roi, trésorier général de France à Rouen, le 3 mai 1652. Les familles subsistantes de la noblesse française sont les familles qui étaient autrefois membres de la noblesse française et qui se sont perpétuées jusqu'à nos jours. Joseph-Charles H. du F., né le 19 avril 1812, général de division, grand officier de la Légion d'honneur (, Claude Harscouët, seigneur de Goasbian, en Plouha, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne en 1669. originaire du Morbihan, commune de Saint Gilles. Dans Catalogue de la noblesse française au XXI e siècle Régis Valette écrit qu'en France, les titres de noblesse, à l'exception du titre de duc, sont considérés comme moins importants que l'histoire du nom de famille. environ 180 familles éteintes après leur admission (de 1933 à aujourd'hui) ; environ 20 familles éteintes après 1900 et admises déjà éteintes (inscription à titre historique). (Comte de Waroqier, Acte récognitif : Lettres patentes conférant le titre héréditaire de Baron le, Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, Bibliothèque nationale, Nouveau d'Hozier, volume 149, ...., p.--, Acte récognitif : Certificat de noblesse délivré le, Acte récognitif : Certificat de sous-lieutenance délivré par, Les Gasquet étaient cultivateurs et ménagers à Cuers, au Revest, à Tourves et dans d'autres localités voisines, vers le milieu du, Acte récognitif : Procès-verbal des preuves de noblesse du, lettres de confirmation de noblesse en 1698 non enregistrées. Défenseur de Lille en 1708 sur une chaloupe à canons, contre les troupes du prince Eugène, chevalier de Saint-Louis. - 1922, t.III, page 156. Cette division de la société par ordres trouvait ses origines dans l'Antiquité. Cette maintenue a l'autorité de la chose jugée, et seuls l'intendant ou le conseil du roi, auraient pu l'annuler si cette erreur avait été découverte). Acte récognitif : François de Coataudon, écuyer, seigneur de Hamon, et son fils Guillaume, Le chef de cette famille, Nicolas Colas, s'est fixé en Orléanais vers 1350, étant conseiller du duc d'Orléans, fils du roi Philippe VI de Valois. Jean-Baptiste Blanchet de La Sablière, membre de l'Assemblée de la noblesse du bailliage d'Étampes pour l'élection des députés aux États généraux de 1789 (, René-Antoine Blocquel de Croix, seigneur de Wismes-en-Artois, reconnu noble en 1710. Marie-Philippe de l'Ollivier de Saint-Maur, demoiselle d'Aunac, son épouse, arrêtée en même temps que son mari, transférée à la conciergerie, condamnée à mort par le tribunal révolutionnaire de Paris et guillotinée le 20 juin 1794 (, Nicolas Salaün, seigneur de Kerramoal, en Carantec, (Finistère), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 24 juillet 1670 (, Louis de Sécillon, seigneur de Kerfur, en Guérande, (Loire Atlantique), maintenu noble en Bretagne, le 7 février 1669 (, Jean, baron de Secondat, maintenu noble à l'intendance de Montauban, le 22 mai 1670. Pour les personnes les estimations varient de 50 000 ou de 100 000[b 1] à 140 000 individus, ce qui représente environ 0,1 à 0,2 % de la population française. Hervé-Louis-Joseph, contre-amiral en 1827 (, Pierre Paveret, seigneur de La Rochefordière, en Grand-Champ, (Loire-Atlantique), conseiller du roi, scelleur héréditaire de la Grande Chancellerie de France à Versailles et près la cour du Parlement de Paris, le 13 février 1788 (, René Péan, seigneur de Pontfilly, en Pleurtuit, (Ille-et-Vilaine), maintenu noble avec sa mère, veuve, le 9 mai 1669. Download. Sur réversion du titre de 1815 du général Lecourbe. Jean-François-Sylvestre Denis, comte de Trobriand, maintenu noble en Bretagne le 23 avril 1768 (, Haut et puissant seigneur, messire Jean-Mathurin, comte Desgrées du Lou, chevalier, seigneur du Lou, en Gaël (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 16 mars 1659 (, Famille d'ancienne noblesse, originaire d'Angoumois ; plusieurs de ses branches ont été maintenues nobles en Poitou et dans la généralité de Limoges, de 1666 à 1718 (, René-Guillaume des Prez, seigneur de La Morlais, en Illifaut, (Côtes d'Armor), consul, puis échevin de Rennes, député de Rennes aux États de Bretagne tenus à Vannes en 1754, reconnu noble à l'intendance, le 21 mai 1746., puis par arrêt du Parlement de Bretagne du 2 juin 1770. Recueil des personnes ayant fait leurs preuves pour l'ANF (année 1968). Armand de Gérard, maintenu noble d'extraction à l'Intendance de Guyenne le 6 novembre 1666, commandant du ban de la noblesse du Sarladais le 3 juin 1674. Annales de démographie historique, Belin, 2016, 131 (1), pp.13-36. Acte récognitif : Certificat de noblesse du, Claude Le Lou, seigneur de La Renaudière, en ST-Donatien, maintenu noble en Bretagne le 15 novembre 1668 (. Valette 2007 : 3 092 (l'un des deux seuls qui donnent des chiffres précis). Charles Alexandre Marie François de La Foye, né à Paris en 1839, général d'artillerie, commandeur de la Légion d'Honneur (, Rodolphe-Emmanuel de La Goublaye, maintenu noble d'extraction par un arrêt du Parlement de Bretagne du 13 juillet 1770 (, François de La Guerrande, écuyer, sgr de La Villecoleu, en Saint-Germain-de-la-Mer (Côtes d'Armor), épouse Marguerite de Planche; Veuve, elle obtient la maintenue de noblesse d'extraction en Bretagne pour ses enfants, le 22 novembre 1668 (, Famille d'ancienne noblesse, maintenue noble dans l'élection d'Angoulême en 1666, et en Poitou, en 1700 et 1715 (, Famille originaire de Bourgogne, établie dans l'État de Liège, puis en Bretagne. La Noblesse Française. Urbain-Guillaume de Quelen, page de la grande écurie du roi en janvier 1745, cornette, puis capitaine au régiment Royal-étranger, garde corps du roi le 17 juin 1753, maréchal de camp le 5 décembre 1787, émigré à Jersey. ↑ 1,0 1,1 1,2 et 1,3 Question écrite sur l'Association d'entraide de la noblesse française. Autre François, écuyer, seigneur de July, des Mollets et de Coubertin, en Saint-Leu-de-Taverny (Seine-et-Oise), officier de Marine, commandant la frégate l'Entreprenante en 1696, puis le vaisseau l'Ecueil en 1698. Gabriel-René-André de L., membre de l'assemblée de la noblesse de Normandie pour élire les députés aux États généraux de 1789 (, Jacques de Lancrau, maintenu noble en Bretagne, en 1667. Florentin-Claude de Kerautem, émigré, puis chef de division de l'armée catholique et royale de Bretagne, pris et fusillé par les bleus au village de Baraval, en Saint-Aignan (Morbihan), le 2 ventose An II (, Pierre-Maurice de Kergariou, seigneur de Coëtilliau-en Poubezre (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 21 mars 1669. Un titre de noblesse est soit un titre qui est réservé à des personnes de condition noble, soit un titre qui confère la noblesse.Il correspond à l'origine à l'exercice de fonctions d'autorité déléguées de celles du souverain : militaires ou judiciaires. À contrario, les familles françaises subsistantes qui tirent leur principe de noblesse d'un souverain étranger (noblesse étrangère), et qui n'ont pas été maintenues ou reconnues nobles en France (r.n.f. La hiérarchie au sein de la noblesse française en dessous des pairs était initialement basée sur l’ancienneté; un comte dont la famille était noble depuis le XIV ème siècle était plus prestigieux qu’un marquis dont le titre ne datait que du XV ème siècle. Les familles sont répertoriées par ordre alphabétique du premier patronyme, avec dans la mesure du possible : Lorsqu'il existe des sources contradictoires il est alors mentionné : noblesse non consensuelle. Louis François E. de B., admis dans les gardes du corps du Roi le 28 mai 1788. Pierre-Jean-Marie R., comte du Cleuziou, mousquetaire de la, Christophe III de Rarécourt de La Vallée, seigneur de Pimodan, capitaine d'une compagnie de 100 arquebusiers à cheval, major des villes et gouvernements de Toul et de Verdun, grand bailli d'épée de Toul, avant 1656. Philippe R., seigneur de La Rochequairie, en Saint-Étienne-du-Bois, (Vendée), capitaine au régiment de Touraine-infanterie (, Louis de Rochechouart, seigneur de La Brosse, près Isy, (Loiret), député de la noblesse de la chastellenie de Neufville en 1649.
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